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MIRRORLESS vs. REFLEX, OU LEO3 WI vs. LEO3

de Massimo Boyer

MIRRORLESS vs. REFLEX, OU LEO3 WI vs. LEO3

 

Et bien oui, je me suis adapté à celle qui est en train de monter sur scène, et qui pourrait être vue comme la seconde révolution du monde de la photographie. Je suis passé à une mirrorless et j’ai changé de caisson, de Leo3 à Leo3wi.
La première révolution à laquelle je fais référence, produite au tournant du millénaire a été le passage de la photographie chimique à la photographie numérique. Simplement je crois que quand l’industrie de la photographie s’est sentie prête, elle a réalisé le passage, sans se poser trop de questions, selon le style de Robespierre. Cela a provoqué d’abord pleurs et regrets par les nostalgiques, la plupart ont pris act du changement. Presque tout le monde s’est adapté, maintenant… levez la main ceux qui retourneraient en arrière.
Le passage au numérique, en plus d’éliminer l’esclavage des 36 photos et à rendre plus rapide le processus d’acquisition et première vision du résultat, traîne une autre conséquence importante: le système reflex, pentaprisme, rideau et mirroir rabattable, projété avec le but de permettre la vision à travers la lentille, donc de transférer au viseur l’image qui lors du clic est vue par l’appareil photo, faut encore? Il fallait tout, et comment, pour éviter que la lumière impressionne la pellicule avant l’heure en permettant en même temps la vision à travers la lentille, mais dans un système numérique la lumière issu du sujet peut viser le capteur, qui envoie le signal a l’écran LCD ou à un viseur électronique, pour montrer la scène au photographe. Le capteur lors du clic enregistre la lumière, mais il n’a pas besoin d’être mis dans l’obscurité avant par un miroir, donc on peut s’en passer (mirrorless signifie “sans miroir), et on peut aussi s’en passer du pentaprisme, et du verre rodé pour la mise au point, et alléger et rétrécir l’équipement. L’appareil photo, le caisson, tout enfin. Et voilà la seconde révolution, le passage au mirrorless, plus souterrain et lent mais selon plusieurs imparable.Il faut aussi dire que dans ce cas pas tous les constructeurs se trouvent au même point, et ainsi, pendant que quelques personnes résistent et investissent encore sur le marché reflex, des autres qui jusqu’à présent avaient été en marge de la photographie se sont lancés dans le nouveau secteur de marché avec grands investissements et collaborations importantes avec constructeurs de lentilles.
La première chose fondamentale selon moi est la suivante: on préserve des grammes précieux, qui additionnés entre eux deviennent kilos, et surtout qui voyage en avion sait combien il est important.
Si pour la photo extérieure beaucoup de gens jugent les dimensions de une reflex justes à gérer, dans la “photosub” petit est mieux. À cause de la distance différente entre l’attelage de la lentille et le capteur, pratiquement tous les constructeurs ont dû passer à une gamme dédiée des lentilles.
L’assortiment est encore nécessairement limité par rapport à la gamme des lentilles qu’une reflex peut avoir, mais il est en train de s’adapter rapidement et puis, en parlant de la “photosub”, quelles lentilles sont vraiment nécéssaires pour photographier sous l’eau? Dans mon cas, ma mirrorless est la Sony α7 III, j’ai trouvé deux lentilles fabuleuses dans la nouvelle gamme des lentilles équipées avec lentilles Zeiss: un zoom super grand angle 12-24 mm et un Macro 90 mm. Qu’est- ce que je pourrais désirer de plus? J’ai trouvé qu’ entre les photographes il existe une idée préconçue, mirrorless = mise au point lente. Il se peut que cela soit vrai pour les premières générations, mais je dois dire que ma Sony met au point à grande vitesse. Je ne sens pas de différences sensibles avec ce qui se passait avec la Nikon, en fait, entre les deux je donnerais à Sony la “palme” de la plus rapide. En lisant le manuel d’utilisation et en faisant les premiers tests sur le champ je me suis rendu compte d’une chose, que les “natifs numériques” vont avoir du mal à comprendre: pendant le passage de Nikon analogique à Nikon numérique je m’étais limité à transférer sur le nouveau système ce que je connaissais de la photographie chimique, en continuant à photographier comme j’avais appris.
Avec le passage à la mirrorless je suis “projeté” dans la photographie numérique, et je me trouve à exploiter vraiment (et à devoir étudier) les fonctions et modalités d’utilisation nouvelles pour moi.
Queques exemples? J’ai toujours pensé qu’il n’y avait aucune alternative à regarder dans le viseur pour composer l’image. Sous l’eau on ajoute espace entre l’oeil et viseur, le caisson, la masque, et on doit apprendre (dans un lieu que nous pénalise) à évaluer de façon différente l’image. Dans un système mirrorless plutôt on utilise l’écran arrière pour composer l’image: grande, pratique à regarder aussi en éloignant le caisson du visage et en le rapprochant au sujet. Et avec des caractéristiques optionnelles inattendues par un ancien photographe né à l’ère de la pellicule. Par exemple la possibilité de voir sur l’écran une image llumineuse toujours, indépendamment du trio vitesse/ouverture/ISO séléctionné:
option utile en profondeur, en nocturne ou quand on travaille avec temps rapides, ouverture fermée et ISO bas, par exemple en Macro. Ou, si je travails avec un fisheye et je désire un fond bien éclairé par la lumière naturelle mais sous-exposé pour avoir l’eau d’un bel bleu profond, je peux régler le moniteur de façon qu’il me montre comment l’image va apparaître dans le clic finale (à l’exception du premier plan qui sera éclairé par le flash).
Et ainsi de suite. En tout bien tout honneur il y a encore deux petits inconvénients du système mirrorless, le premier concerne le nettoyage du capteur, qui se trouve au dos de la lentille, sans la protection du miroir reflex et obturation, donc à chaque changement de lentille il risque de se salir. Il faut faire très attention, et heureusement le photosub ne change pas souvent de lentille.
L’autre inconvénient porte sur la durée des batteries, soumises à une consommation plus grande à cause du moniteur qui reste allumé et qui consomme énergie aussi pendant les “temps morts”.
Le caisson Leo3 wi de Easydive recharge la batterie du caisson pendant l’utilisation, à travers une connexion USB. En outre, si on sait qu’on ne va pas utiliser l’appareil photo pour un certain temps, par exemple pour un transfert à la nage, on peut l’éteindre de l'extérieur. Et nous vous rappelons qu’il s’agit d’un caisson universel, adaptable aux différents modèles avec une simple mise à jour du software qui se fait par mail, et qui, grâce aux boutons électroniques, est opérationnel à -150 m. Et le même caisson peut contenir alternativement des modèles différents, en reconnaissant tous les modèles à travers un connexion wireless. Cet effort, pour un natif analogique! Mais surtout il est compacte, léger, maniable, et il transmet à l’extérieur par voie électronique pratiquement toutes les fonctions de ma nouvelle Sony, malgré le petit clavier par rapport à la Leo3 une touche switch permet d’accéder à fonctions d’utilisation moins fréquent. Leo3 wi est le caisson le plus technologique dans le monde entier, la première avec connexion wi-fi. Autre bon point pour Easydive, dans l’attente que la seconde révoltion photographique se concrétise définitivement.



 




 


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